Yaïr Mélenchon versus Jean-Luc Lapid la révolution

France, Israël, les deux boute-feu de la révolution.

Pourquoi l’inversion des prénoms? Car ces deux là sont les deux faces d’une même pièce. Ils sont parfaitement interchangeables.

Ils sont hors la loi, car ils poussent une frange à commettre des actes illégaux.

France.

Jean-Luc Mélenchon ne s’est jamais remis de sa défaite aux Présidentielles de 2017, depuis il promet de mettre ses troupes dans la rue pour renverser le Gouvernement.

• Voila un Candidat arrivé 4ème au premier tour de scrutin, qui conteste le résultat de l’élection, où Emmanuel Macron l’emporta au second tour avec 2/3 des suffrages exprimés.
• Il n’a pas non plus digéré sa défaite de 2022 où sa troisième place l’exclut du second tour. Et où Emmanuel Macron fut élu avec plus de 58% des suffrages exprimés.
• Il n’a qu’une seule obsession, renverser le Gouvernement et devenir Président.
• Il pourrait éventuellement renverser le Gouvernement, mais il ne serait certainement pas élu, car ses outrances tant verbales que physiques ne font pas l’unanimité, la majorité des Français le rejetant.
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Israël.

Après des essais infructueux, Yaïr Lapid est arrivé comme Premier Ministre alternatif d’une coalition de bric et de broc dont le seul programme était « tout sauf Bibi ». Gouvernement mené par une liste n’ayant reçu que 6 mandats.

• La coalition étant tombée, Yaïr Lapid est devenu Premier Ministre intérimaire dont les fonctions étaient d’assurer les affaires courantes jusqu’au résultat du scrutin de la nouvelle Knesset.
• Il a essayé d’outrepasser ses droits en voulant s’impliquer dans la continuation des accords d’Abraham.
• Il a à nouveau manqué son challenge car son rival de toujours Benyamin Netanyahou l’a emporté avec une coalition de 64 Députés.
• Immédiatement il s’est lancé dans une contestation du résultat du scrutin, et a envoyé ses troupes dans la rue qui manifestent et bloquent les axes principaux réclamant l’arrêt du processus de mise en place de la réforme judiciaire préalable à toute discussion.
• Aujourd’hui, le processus est mis en veilleuse, mais Yaïr Lapid n’est pas à la table des négociations.
• Son grand ami Abou Mazen n’agit pas différemment.

Conclusion

L’un comme l’autre veulent faire passer leurs idées de coup d’État en accusant leurs gouvernants d’actes antidémocratiques. C’est l’inversion des valeurs, le mauvais est le bon, alors que le bon est montré comme le mauvais.