L’Occident malade du terrorisme Islamiste

L’Occident malade du terrorisme Islamiste

mars 28, 2024 1 Par Eli Laik

L’Occident malade du terrorisme Islamiste

L’Occident malade du terrorisme Islamiste est largement inspiré de la Fable de La Fontaine « Les animaux malades de la peste. »

Un mal qui répand la terreur,
Mal que le Ciel en sa fureur
Inventa pour punir les crimes de la terre
L’Islamisme (puisqu’il faut l’appeler par son nom),
Capable d’enrichir en un jour l’Achéron,
Faisait à l’Occident la guerre.

Aussi l’Occident désespéré s’interroge

« L’Occident malade du terrorisme Islamiste »

Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés :
On n’en voyait point d’occupés
À chercher le soutien d’une mourante vie;
Nul mets n’excitait leur envie ;
Ni loups ni renards n’épiaient
La douce et l’innocente proie.
Les tourterelles se fuyaient :
Plus d’amour, partant plus de joie.

Onu

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Et puis le Conseil de sécurité de l’ONU se réunit


L’ONU tint conseil, et dit : « Mes chers amis
Je crois que le Ciel a permis
Pour nos péchés cette infortune ;

En conséquence il faut sacrifier l’un de nous

Que le plus coupable de nous
Se sacrifie aux traits du céleste courroux ;
Peut-être il obtiendra la guérison commune.
L’histoire nous apprend qu’en de tels accidents
On fait de pareils dévouements:
Ne nous flattons donc point ; voyons sans indulgence
L’état de notre conscience.

La Russie parla la première


Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons,
J’ai dévoré force pays.
Que m’avaient-ils fait ? Nulle offense;
Même il m’est arrivé quelquefois de tuer
Leurs peuples et leurs dirigeants.
Je me dévouerai donc, s’il le faut ; mais je pense
Qu’il est bon que chacun s’accuse ainsi que moi :
Car on doit souhaiter selon toute justice
Que le plus coupable périsse.

Et puis l’Iran intervint


« Monsieur le Président, dit le représentant de l’Iran, vous êtes trop bon dirigeant ;
Vos scrupules font voir trop de délicatesse.
Eh bien, annexer pays, canaille, sotte espèce.
Est-ce un péché ? Non non. Vous leur fîtes, Monsieur le Président,
En les annexant beaucoup d’honneur;
Et quant aux peuples et leurs dirigeants, l’on peut dire
Qu’ils étaient dignes de tous maux,
Étant de ces gens-là qui sur les pays
Se font un chimérique empire. »
Ainsi dit le représentant de l’Iran ; et flatteurs d’applaudir.
On n’osa trop approfondir.

D’autres pays s’accusèrent


De la Chine, ni de la Corée du Nord, ni des autres puissances,
Les moins pardonnables offenses.
Tous les gens querelleurs, jusqu’aux simples terroristes,
Au dire de chacun, étaient de petits saints.

Finalement Israël déclara enfin

Drapeau d’Israël


Israël vint à son tour, et dit : « Nous en avons souvenance
Qu’en de nombreuses occasions, subissant les assauts de terroristes islamistes,
Soucieux de défendre nos populations civiles,
Nos services excédés par ces répétitions multiples, Ont réagi tuant quelques terroristes islamistes. Nous n’en avions nul droit, puisqu’il faut parler net. »

Conclusion


À ces mots, on cria haro sur Israël.
Yahya Sinwar, quelque peu clerc, prouva par sa harangue
Qu’il fallait dévouer ce maudit pays,
Ce pelé, ce galeux, d’où venait tout leur mal.
Sa peccadille fut jugée un cas pendable.
Tuer quelques terroristes islamistes ! quel crime abominable !
Rien que la mort n’était capable
D’expier son forfait : on le lui fit bien voir.
Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.