Institut pour la Justice
juin 14, 2013Madame, Monsieur,
Christiane Taubira devait être confrontée, ce vendredi soir sur France 2, au secrétaire général de l’Institut pour la Justice, Xavier Bébin.
Xavier Bébin s’apprêtait à porter la voix des millions de Français qui contestent le laxisme de la Justice envers les criminels.
Mais, à la dernière minute, Christiane Taubira a refusé cette confrontation et France 2 s’est soumise à ce diktat.
Voilà comment on parvient à museler ceux qui ne pensent pas comme vous. Il suffit de ne pas leur donner la parole !
Mais vous pouvez agir, aujourd’hui même, pour effectuer un acte simple et efficace contre cette dictature de la pensée unique.
Car si Christiane Taubira a fait pression pour empêcher le secrétaire général de notre association d’être sur le plateau de « Ce soir ou jamais » sur France 2, ce n’est pas seulement parce qu’elle craignait le débat.
C’est surtout parce qu’elle ne voulait pas faire de publicité au livre qu’il vient de publier « Quand la Justice crée l’insécurité » (Fayard).
Car ce livre donne à tous les citoyens les chiffres et arguments clés pour comprendre à quel point ses projets sont dangereux :
-Christiane Taubira veut en finir avec le « tout carcéral » ? En réalité, le nombre de places de prison par habitant est, en France, inférieur de près de moitié à la moyenne de l’Union européenne.
-Le gouvernement veut développer les « libérations anticipées » des délinquants? Mais par le jeu des remises de peine et de la libération conditionnelle, un détenu peut déjà sortir après avoir effectué un peu plus d’un tiers de sa peine.
-Une nouvelle loi s’apprête à supprimer les « peines plancher pour les récidivistes » ? Alors qu’il existe bien un noyau dur de la criminalité, ces 5 % de délinquants sont responsables de plus de 50 % des crimes et délits commis !
-La prison doit devenir l’exception ? Mais elle l’est déjà : Sur 1,4 million d’auteurs présentés chaque année à la Justice, seuls 80 000 sont réellement envoyés en prison.
-La garde des Sceaux veut supprimer les « tribunaux correctionnels pour mineurs » ? Les mineurs de 14 à 18 ans représentent 1 % de la population carcérale et 5 % de la population générale, mais ils sont responsables de 25 % des viols, 24 % des cambriolages et 46 % des vols avec violence.
Tous ces chiffres, mais aussi de nombreux exemples concrets, sont révélés dans Quand la Justice crée l’insécurité.
Le problème est que la plupart des médias ont décidé de passer ce livre sous silence.
Pourquoi ? Parce que ce livre est « dangereux » pour le pouvoir.
Ce n’est pas moi qui le dit mais Philippe Bilger, ancien avocat général à la Cour d’appel de Paris, et qui n’appartient pas à l’Institut pour la Justice :
Etayée par de nombreuses statistiques, illustrée par des exemples puisés dans l’actualité, fondée sur de solides arguments, l’analyse de Bébin démolit tranquillement, sans vergogne mais sur un ton mesuré, les poncifs de la phraséologie pénale, judiciaire, pénitentiaire, sociale et médiatique.
Cette démolition est d’autant plus redoutable, donc à exclure des circuits d’information et de diffusion, qu’elle est enrichie par des propositions que les politiques pourraient aisément et rapidement mettre en œuvre.
La mécanique habituelle de la disqualification s’est mise en marche. Xavier Bébin serait « de droite », et l’Institut pour la Justice, une association « très droitière ». Il faut faire litière de ces accusations (…)Il est malhonnête de le présenter comme une émanation de la droite dure – et irresponsable d’ignorer son implacable diagnostic.
Mais si les médias n’en parlent pas, VOUS pouvez briser le mur du silence en vous procurant ce livre. Vous pouvez aussi en parler autour de vous et l’offrir à des membres de votre entourage – surtout ceux qui doutent de l’urgence absolue d’une réforme de la Justice en France.
Plus ce livre sera diffusé, moins les politiques, les médias et les juges pourront ignorer son diagnostic et ses recommandations.
Si vous souhaitez contribuer à ce grand mouvement pour la vérité et la Justice, merci de le commander maintenant en cliquant ici.
Je vous invite aussi à transférer ce message à tous vos contacts : il est impératif que chacun sache comment les idées « non conformes » mais de bon sens, sur la Justice et l’insécurité, sont exclues du débat public en France.
Avec tous mes remerciements.
Laurence Havel
Secrétaire nationale de l’Institut pour la Justice
PS : quelques témoignages sur le livre « Quand la justice crée l’insécurité ».
« J’ai bien reçu l’ouvrage de Xavier Bébin et vous remercie de l’envoi rapide de cet ouvrage dont j’ai déjà entamé la lecture avec le plus vif intérêt. Il conforte en tous points votre admirable engagement à vouloir défendre les victimes et leurs familles. Ces témoignages cités par l’auteur sont bouleversants et montrent à quel point la Justice de ce pays est irresponsable et inopérante».
Monsieur Philippe V. sympathisant de l’Institut pour la Justice
« Un réquisitoire clinique et implacable contre les dogmes qui ont dévoyé notre système judiciaire »
Thibault de Montbrial, avocat au barreau de Paris
« M. Xavier Bébin démontre magistralement la perversion de notre système pénal, oublieux de son rôle de protection de la société et indifférent aux victimes. Ce livre salutaire prouve que l’humanisme n’est pas là où l’on voudrait nous le faire croire »
Jean-Claude Magendie, ancien président de la Cour d’appel de Paris
« En matière criminelle, on est trop souvent interpellé par les incantations, les imprécations ou les lamentations. Le débat mérite mieux. On peut partager ou critiquer les analyses de Xavier Bebin. Mais il faut lire ce livre pour construire enfin le dispositif équilibré entre prévention, dissuasion et sanction adaptée que méritent les citoyens. »
Alain Bauer, professeur de criminologie au Conservatoire National des Arts et Métiers, New York et Beijing
« Un ouvrage courageux, qui défend de façon rigoureuse une politique pénale du bon sens, loin des idéologies abstraites et préconçues ».
Jean Pradel, professeur émérite des Universités, ancien juge d’instruction
« A partir d’exemples concrets, dans un style vif et accessible, cet excellent livre décrit les dérives d’un système judiciaire à bout de souffle».
Olivier Foll, ancien directeur de la police judiciaire de Paris
« Tout est vrai dans cet ouvrage remarquable qui nous ramène du fantasmagorique au pragmatique, de l’angélisme au trivial, du dogmatisme idéologique à la pratique du réel ».
Michel BeÌneÌzech, psychiatre, légiste, expert judiciaire honoraire et professeur associé des Universités
« Un plaidoyer étayé par des exemples frappants et une solide connaissance de la criminologie. »
Maurice Cusson, criminologue, professeur émérite à l’Ecole de criminologie de l’Université de Montréal
Institut pour la Justice – 140 bis, rue de Rennes – 75006 Paris
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