Benyamin Netanyahou: pas d’État palestinien
janvier 19, 2024Benyamin Netanyahou: pas d’État palestinien
Benyamin Netanyahou: pas d’État palestinien. Les États-Unis « agacés. » Les Israéliens sont eux aussi agacés de cette insistance. Enfin, les choses sont dites.
Le désir des Israéliens s’est exprimé par la bouche de leur Premier Ministre démocratiquement élu.
Le gouvernement d’Israël ne se fera pas dicter sa politique par un pays étranger, fut-il notre meilleur allié. Israël dit non à l’ingérence de l’Étranger dans sa politique intérieure.
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Est-ce en accord avec les lois internationales?
Vous l’avez lu dans ces colonnes, ni l’O.N.U ni aucun pays ne peut créer un État sur le territoire d’un autre État-membre. L’article 80 de la Charte de l’O.N.U est très clair à ce sujet. Seul un pays souverain peut envisager de fractionner son pays au bénéfice d’un nouveau pays.
Demander à Israël de fractionner son pays, équivaudrait à demander à la France ou à tout autre pays de fractionner son pays.
Ce qui se passe avec l’Ukraine relève du même article 80. Lorsque Emmanuel Macron déclare que la Guerre en Ukraine est sa principale préoccupation, il devrait tenir les mêmes propos vis à vis d’Israël.
La position de Netanyaou me paraît on ne peut plus logique.
La position de Benyamin Netanyahou est on ne peut plus logique.
C’est le moment que choisit le Ministre des Affaires étrangères françaises nouvellement nommé pour nous déclarer: « Je veux deux États », Et il court à l’O.N.U pour le réclamer. Ce qui prouve son degré de non qualification.
Il faut le renvoyer à cet article: https://les-francophones-d-israel.com/2023/10/29/la-charte-creatrice-des-nations-unies-24-octobre-1945-2/ qui lui expliquera qu’il est dans la plus parfaite illégalité.
Par ailleurs comment un Ministre des Affaires étrangères d’un pays peut-il parler avec autant d’outrecuidance d’un pays souverain?
Nous pourrions lui répondre que nous sommes décidés à des abandons douloureux, nous pourrions envisager la création d’un deuxième État dont les limites se situeraient idéalement à l’est d’une limite partant de Lille pour aboutir à Marseille, avec Paris pour capitale de deux États.