Un quarteron de généraux
septembre 4, 2019C’est la dénomination que le général De Gaulle avait donnée à ceux qui voulaient maintenir l’Algérie dans la France et éviter l’exode de la population française. Dans les élections à venir, c’est un Quarteron de chefs d’état-major qui veulent amputer notre état de territoires libérés lors de la Guerre des six jours et expulser des citoyens juifs de ces terres.
Le premier de ces Chefs d’Etat-major est Ehud Barak, le plus lamentable de nos Premiers Ministres et qui a sévi durant le plus bref délai. Il a conclu un accord électoral avec le parti ultra gauchiste du Meretz qui a retiré de son programme le terme « sioniste ». Mr Barak s’accoquine avec des éléments néfastes et compte sur des voix arabes pour franchir le seuil d’éligibilité. On se souvient de sa fuite du Liban en abandonnant les frères d’armes du Liban-sud, de sa valse avec le terroriste Arafat et de ses minauderies pour le supplier d’accepter la division de Jérusalem. On se souvient surtout de sa passivité lorsque les hordes arabes ont encerclé le tombeau de Joseph à Sch’em, et qu’un soldat de Tsahal s’est vidé de son sang parce que l’ordre n’était pas venu d’aller le sauver. Une entorse dramatique à la morale de notre armée ! Le commandant de la région qui était resté l’arme au pied pendant que les hordes arabes refusaient de permettre de sauver notre soldat n’était autre que Benny Gantz.
C’est ce même Gantz, ancien chef d’Etat Major, qui dirige actuellement la liste de Gauche mal nommée « bleu blanc ». C’est ce même Gantz qui s’est déclaré fier d’avoir mis en danger la vie de nos soldats pour ne pas risquer celles de « civils » arabes lors d’une opération et qui a accepté de participer à une cérémonie commémorative dite « alternative » pour la perte de nos soldats en même temps que celles des terroristes arabes abattus. C’est encore lui, avec l’aide des médias, qui considère positif l’appui des députés arabes dont nous connaissons l’infidélité à l’Etat juif mais écarte toute alliance avec les juifs orthodoxes. Encore lui qui avait insisté pour que la dernière opération à Gaza soit limitée, qui rechignait à détruire les tunnels terroristes, qui s’était opposé à la construction de la barrière de sécurité dans le sud et qui soutenait les Accords de Vienne pour l’Iran !
A ses côtés se présente l’ancien chef d’état-major Moshé Boogie Yaalon qui fut pendant une brève période Ministre de la Défense dans le gouvernement Netanyaou et dont l’éviction de ce poste l’a amené à se liguer avec les candidats de la gauche. Fidélité idéologique, quand tu nous tiens…
Le quatrième ancien chef d’état-major est Gaby Ashkenazy dont plusieurs enquêteurs révèlent des accointances et des comportements peu compatibles avec la dignité militaire.
On ne peut s’empêcher de se demander pourquoi les chefs d’état-major depuis Dayan (qui a donné au WAQF les places saintes du judaïsme), jusqu’à Rabin, signataire des accords d’Oslo cédant la terre d’Israël à nos ennemis et causant la mort de milliers de juifs sur notre terre, et jusqu’à Barak et Gantz sont de gauche.
Le principe est le même que celui du système juridique. Le chef d’état-major s’entoure d’officiers supérieurs qui, outre leur valeureux comportement sur le terrain militaire, partagent les mêmes idées politiques. C’est donc dans ce vivier obligatoire que l’exécutif doit choisir le futur Chef d’Etat-major. C’est donc un système de cooptation qui empêche les officiers supérieurs pétris de valeurs juives sionistes nationales, d’accéder au commandement suprême.
« La guerre est trop sérieuse pour la confier aux militaires » disait Georges Clémenceau. Dans notre cas la politique est bien trop sérieuse pour la confier à des Chefs d’Etat-major en retraite.
Quant un Chef d’Etat-major se prépare pendant son mandat militaire à exercer un mandat législatif politique, on ne peut espérer qu’il réussisse le premier et on peut être sûr qu’il ratera le deuxième.
Le 17 septembre, renvoyons ces anciens Chefs d’Etat-major à la retraite.
Le 17 septembre, A DROITE TOUTE !