Je soutiens Donald Trump pourquoi?
avril 1, 2020Le 5 janvier 1992 j’ai écrit une synthèse relative à la démolition en règle de toute l’industrie française, et de la délocalisation de toutes les activités en Chine, j’ai évoqué le chômage qui avait explosé pour atteindre le cap du million, de la tension qui en résultait sur l’ensemble des régimes sociaux. J’ai terminé en abordant une piste qui résoudrait ces points.
Il s’agissait de supprimer toutes les charges sociales qui pesaient sur les entreprises, les professions libérales, les salariés et les retraités charges qui se retrouvaient dans les prix à la consommation, mais également sur les prix à l’exportation. De mettre en place une taxe sociale ajoutée (en plus de la Tva) qui agirait comme un frein à l’importation, ne frapperait pas les exportations. Avec une augmentation du pouvoir d’achat constaté pour tous les consommateurs français de 4,23%
J’ai approché des Députés, des Elus locaux, à qui j’ai communiqué ce memorandum, Ils m’ont renvoyé vers différentes personnes susceptibles d’analyser les données fournies et d’explorer la piste proposée, sans qu’aucune suite ne soit donnée.
Mai 1995, au lendemain du premier tour des Présidentielles, j’ai adressé un message de félicitations à Jacques Chirac pour l’excellent score et formulant des voeux de réussite pour le second tour. Je lui ai joint le mémorandum, il m’a gentiment répondu, me remerciant de mes voeux et de cet envoi, il m’a précisé que dès son entrée en fonction il s’appliquerait à une relance économique qui résoudrait tous les problèmes énoncés. Nous connaissons tous la suite.
Au cours de son septennat, et du quinquennat qui a suivi, non seulement la France s’est enfoncée dans la crise, mais les indicateurs que j’avais évoqués déjà très en dessous des normes ont plongés plus profondément dans le rouge.
Mai 2007 Lors de l’élection de Nicolas Sarkosy, j’ai renouvelé l’envoi en précisant que les chiffres devaient être réactualisés mais que le raisonnement restait identique.
Le Président Sarkosy n’a pu s’occuper de ce dossier trop occupé à sauver l’économie européenne mise à mal par la crise boursière de 2008 qui entrainait à la faillite l’ensemble des réseaux bancaires.
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Je me suis alors préoccupé de notre Alyah, consacrant mon énergie à mener de nombreuses campagnes électorales en Israël.
Dès le 20 janvier 2017, Donald Trump en homme d’affaire avisé s’est engagé dans un bras de fer avec la Chine, il a mis en place des taxes sur les produits chinois afin de lutter contre le dumping organisé par l’Etat chinois. Il a fourni des aides aux entreprises américaines afin qu’elle relocalisent leurs usines en Amérique, et leur a promis des taxes insoutenables si elles persistaient dans leur délocalisation. Le résultat n’a pas tardé dès la première année on a constaté un million de création d’emplois, aujourd’hui plusieurs millions, avec un taux de chômage de 3,5% seulement le plus bas historique.
Parallèlement il a rendu son indépendance énergétique à l’Amérique en relançant des programmes de production stoppés par son prédécesseur.
Aujourd’hui, avec la crise du coronavirus alors que toutes les entreprises mondiales sont impactées car la Chine est devenue au fil des ans le supermarché du monde, l’Amérique peut mieux supporter le choc car ses voitures par exemple sont fabriquées sur place.
Sur ce point, j’avais raison trop tôt, et ceux qui ne m’ont pas écouté, car eux savaient, ceux-la ont mené la France à la faillite, car on ne peut consommer que ce qu’on produit comme richesse, lorsqu’on va au super marché, on paye ses courses, et si on n’a pas d’argent on ne peut acheter qu’à crédit. La France s’est endettée année après année et le seul service des intérêts de la dette est supérieur à l’impôt sur le revenu.
Sur un autre point totalement différent, je suis en phase avec le Président Trump, de tout temps j’ai refusé de mal nommer les choses, j’ai toujours parlé de Judée Samarie, et n’ai jamais employé le nom forgé par la Jordanie lors de son annexion illégale de ce territoire.
J’ai toujours refusé de mal nommer les gens venus du Liban, de Syrie, d’Irak, de Jordanie, du Yémen, d’Arabie Saoudite depuis 1949, à la demande de la Jordanie, afin de peupler la Judée Samarie et une partie de Jérusalem je les ai nommés Arabes vivant en Judée Samarie, squatters, tous mes écrits en attestent.
Un jour conscient de la grande souffrance de ces gens, souffrance causée par la proximité de leurs voisins juifs, j’ai déclaré qu’il fallait leur expliquer qu’il ne fallait pas de visa de sortie pour quitter la région, qu’à aucun moment, nous ne les empêcherions de vivre auprès de leurs frères arabes dans les pays dont ils sont issus.
Les Etats-Unis viennent de déclarer par l’organe du Département d’Etat au grand damn d’Abou Mazen, que les Arabes non israéliens de Jérusalem étaient des résidents et rien d’autre.