La 1ère banque islamiste française cède à la pression islamiste et quitte Israël!
décembre 4, 2011
Mon commentaire:
Je comprends tout à fait que la crise grecque ait ébranlé les fondements de la B.N.P.
Un banquier digne de ce nom se doit de respecter des règles prudentielles qui évitent tout risque important, les chefs d’entreprise en savent quelque chose.
La BNP a cédé aux demandes de l’Etat français et à financé le déficit grec. Elle ne pouvait refuser car en 2008 l’Etat a garanti les emprunts de la BNP et des autres banques. C’est la démonstration du mauvais management des entreprises d’économie mixte.
Aujourd’hui elle assume la main mise de l’Etat qui l’a entrainé dans un système concocté dans le plus grand secret de crédit islamique. Les actionnaires de la BNP seront heureux de savoir dans quelle galère ils sont entrainés par les dirigeants de leur entreprise. Le plus mauvais des management est mis en place par les entreprises d’économie mixte.
Aujourd’hui la BNP prétend serrer les boulons en supprimant une agence de 60 employés, de qui se moque t-on? la règle n’est elle pas de fermer l’agence qui a occasionnée la perte? Pourquoi n’avoir pas fermé l’agence grecque?
L’agence israélienne étant la seule à être fermée, on ne peut s’empêcher de penser aux cinq élus parisiens socialistes qui n’obtiendront pas le soutient du PS afin de laisser leur place aux Verts. Leur seul point commun: être juifs, et afficher des positions pro israéliennes.
Si ça ne s’appelle pas du racisme, cela ressemble étrangement aux lois scélérates édictées dès 1933 par le régime Nazi.
Ceux qui cèdent aux sirènes des Nazislamistes sont des nazis.
Le boycott est interdit par la loi française, il est temps de porter plainte pour discrimination religieuse.
Pour nos frères qui n’ont pas encore compris, leur place n’est plus en France, mais en Israël, car des manœuvres aussi répugnantes devraient les alerter, « lire l’excellent livre de Guy MILLIERE, « comme si se préparait une seconde Shoah ».
Vous ne pourrez pas dire comme il y a 70 ans, nous n’avons pas été avertis, nous ne le savions pas.
Eli LAIK